Les techniques que j’utilise en psychothérapie et psychobiologie sont à la pointe des connaissances et ont démontré une efficacité certaines dans un grand nombre de conditions psychologiques, en particulier le traitement des traumatismes et des addictions.

Certaines techniques ou applications sont encore expérimentales, et doivent être employées dans des conditions de sécurité raisonnables. Elles sont également inconnues du grand public, et d’une partie majoritaire du monde professionnel (médecine et psychologie).

Vous me demanderez peut-être “où sont les preuves que ça marche ?”.

Malheureusement nous ne disposons pas encore d’études cliniques reconnues pour asseoir notre crédibilité (sauf pour l’EFT et l’EMDR, très étudiées et reconnues, et, dans une plus faible mesure, l’hypnose).

Début 2017, je me suis associé à un institut de recherche développant des techniques révolutionnaires dans le domaine de la conscience humaine. Étant certifié et sous licence, j’adhère donc aux principes déontologiques suivants.

 

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Payement au résultat

 

Les traitements et séances que je propose, quel que soit la technique employée, sont soumis à la politique du paiement au résultat.

Ainsi, vous payez uniquement si votre objectif a été atteint.

Cela implique que le thérapeute facture ses services à la performance et non au temps passé.

Cette politique est une exception rare dans le monde de la psychothérapie, mais a plusieurs avantages :

  1. Le client est sûr de ne pas gaspiller d’argent dans un traitement inefficace.
  2. Cela encourage le thérapeute à être aussi capable et compétent que possible
  3. Cela encourage le thérapeute à déterminer des critères de succès précis et réalistes avec son client – le client est encouragé a bien définir son objectif
  4. Cela minimise les attentes irréalistes de certains clients
  5. Cela décourage de prolonger la thérapie pour de mauvaises raisons (le thérapeute n’est pas un “ami payé pour écouter”)
  6. Cela encourage le thérapeute à référer le client à un autre thérapeute plus compétent si besoin
  7. Cela minimise le problème, pour le client, d’oublier avoir jamais eu le problème (effet Apex)
  8. C’est éthiquement satisfaisant

 

Lors d’un entretien préliminaire, le thérapeute et le client se mettent d’accord sur l’objectif, les moyens, et les critères de succès.

Si ces critères de succès ne sont pas atteints, le thérapeute n’est pas payé.

A l’évidence, cela signifie que certaines personnes ne deviendront pas clientes car nous n’avons pas la possibilité de leur apporter ce qu’elles veulent.

Cette politique, bien que rarissime en psychothérapie, est la norme dans un grand nombre d’autres domaines.

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Exceptions

Cette politique peut ne pas être appliquée dans certaines circonstances :

  • Prise en charge par une assurance ou mutuelle
  • Le client veut simplement tester la technique et n’a pas de critère de succès particulier
  • Intervention dans le cadre d’un centre de traitement (sous-traitance)

Lorsque ces circonstances spéciales empêchent vraiment l’établissement du payement au résultat, il est possible d’y faire exception et de s’accorder sur un tarif à la séance.

 

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Code déontologique

 

Je souscris au code déontologique suivant :

1) Pertinence du traitement

a) Etablir la capacité du client à suivre le traitement de manière saine et sécure.

b) Pas de discrimination sur la base de : genre, religion, éthnicité, orientation sexuelle, age, apparence.

 

2) Contrat

a) Etablir un contrat clair sur la durée et le nombre de séance, et les termes financiers.

b) Etablir des limites de contact tactile clair.

c) Emploi des compétences pour le bénéfice prioritaire du client, et non pour un seul gain financier.

d) Maintenir la confidentialité des informations sur le client et leur sûreté.

 

3) Compétences

a) Pratiquer dans mon domaine de compétence, de formation et d’expertise, le rendre clair pour le client éventuel, et ne pas prétendre des capacités infondées.

b) Continuer à se développer personnellement et professionnellement, utiliser pour moi-même les techniques proposées, nourrir passion et révérence pour ma vocation, et garder un équilibre personnel sain.

c) Suivre une supervision et, si approprié, consulter pour soi.

 

4) Relation thérapeute / client

a) Etablir une relation saine et professionnelle, avec respect pour les droits et la dignité de la personne.

b) Ne pas utiliser de mon influence pour exploiter ou exercer un pouvoir sur le client.

c) Ne pas utiliser ma pratique pour promouvoir mes croyances religieuses.

d) Ne pas initier ou encourager un comportement sexuel ou séducteur – réfréner l’initiation d’un tel comportement par le client.

e) Fournir au client des informations utiles sur des groupes de soutien, ressources, éducations, ou sur le mode de vie, dans la limite de mes connaissances.

f) Référer le client aux ressources appropriées s’ils présentent un problème au-delà de mes compétences et de ma formation.

 

5) Relations entre thérapeutes

a) Maintenir et développer des relations positives et saines avec les autres praticiens.

b) Donner un retour constructif aux autres praticiens qui ont selon moi failli au respect du présent code éthique. Si cela ne suffit pas, faire appel au professionnel et/ou autorité civile appropriée dans ma région pour la protection du client impliqué.